Mathématiques en CLIS
Pages mathématiques du site "La Clis de l'école Voltaire de Denain" : http://annie-clis-voltaire-denain.over-blog.com/categorie-780301.html
Documents sur le site de la circonscription Le Havre ASH : http://ecoles.ac-rouen.fr/circhavrecentre/article.php3?id_article=110
Trousse d'activités mathématiques pour des élèves présentant une déficience intellectuelle sur le site du Centre des Enseignantes et des Enseignants de la Commission Scolaire de Montréal (Québec) : http://www.csdm.qc.ca/cee/scenarios/actmath/actmath.htm
Documents sur le site de la circonscription Le Havre ASH : http://ecoles.ac-rouen.fr/circhavrecentre/article.php3?id_article=110
Trousse d'activités mathématiques pour des élèves présentant une déficience intellectuelle sur le site du Centre des Enseignantes et des Enseignants de la Commission Scolaire de Montréal (Québec) : http://www.csdm.qc.ca/cee/scenarios/actmath/actmath.htm
"Mon JT Quotidien"
Journal télévisé divisé en cinq sujets indépendants : http://www.playbacpresse.fr/JTMQ/
La directrice d'école maternelle mise en garde à vue a été relâchée
Voir : http://www.educationsansfrontieres.org/spip.php?article4971
Remarque :
Cet article complète les informations données dans celui-ci :
http://dp.over-blog.com/article-6127820.html
Remarque :
Cet article complète les informations données dans celui-ci :
http://dp.over-blog.com/article-6127820.html
RESF nous informe : "Une directrice d'école maternelle en garde à vue"
Voir : http://www.educationsansfrontieres.org/?article4960
Voir aussi :
http://www.educationsansfrontieres.org/spip.php?article4889
Vous pouvez aussi écouter cette chronique d'Arnaud Viviant (France Inter) :
http://www.educationsansfrontieres.org/IMG/mp3/Arnaud_Viviant_FI_2.mp3
Et regarder ces vidéos :
http://www.latelelibre.fr/index.php/2007/03/des-maternelles-du-xxeme-a-paris-sous-tension/
http://www.dailymotion.com/video/x1i5mm_rafle-20-mars-2007-rampal-paris-19e
Mathématiques au lycée - Logiciel qui permet de former et d'évaluer les élèves sur les savoir-faire liés aux courbes représentatives de fonctions
Patrick Drouot met à la disposition des enseignants et des élèves de lycée un logiciel gratuit écrit en java, nommé Graphexotica.
Extrait de la présentation du logiciel par l'auteur : "Graphexotica est un logiciel qui permet de former et d'évaluer les élèves sur les savoir-faire liés aux courbes représentatives de fonctions. Très innovant, il s'adapte à l'élève, et propose des exercices très variés (infiniment variés, dans la mesure où chaque exercice est créé aléatoirement)."
Adresse : http://logiciels.tomaths.net/pmwiki.php/Fonction/Graphexotica
Extrait de la présentation du logiciel par l'auteur : "Graphexotica est un logiciel qui permet de former et d'évaluer les élèves sur les savoir-faire liés aux courbes représentatives de fonctions. Très innovant, il s'adapte à l'élève, et propose des exercices très variés (infiniment variés, dans la mesure où chaque exercice est créé aléatoirement)."
Adresse : http://logiciels.tomaths.net/pmwiki.php/Fonction/Graphexotica
La Société Générale invente de nouveaux "services" à la clientèle
Voir : http://www.educationsansfrontieres.org/spip.php?article4829
Pour dire à la Société Générale tout le bien que vous pensez de sa conception des services à la clientèle, vous pouvez utiliser cette adresse :
http://www.socgen.com/sg/socgen/pid/174/context/SC/lang/fr/object/rubriqueSC/id/249/rubid/249/nodoctype/0.htm
Pour dire à la Société Générale tout le bien que vous pensez de sa conception des services à la clientèle, vous pouvez utiliser cette adresse :
http://www.socgen.com/sg/socgen/pid/174/context/SC/lang/fr/object/rubriqueSC/id/249/rubid/249/nodoctype/0.htm
Communiqué de presse RESF Paris
Resf Paris : Répression et chasse aux étrangers : un pas a été franchi.
http://www.educationsansfrontieres.org/?article4906
COMMUNIQUE DE PRESSE RESF PARIS
Paris le 20 mars 2007
Répression et chasse aux étrangers : un pas a été franchi.
Hier et ce soir, des incidents graves se sont produits lors de rafles effectuées dans nos quartiers à Paris.
Lundi 19 mars en fin de journée, nous avons assisté, révoltés, à une tentative d’arrestation devant l’école maternelle Rampal d’une dame venue chercher une petite fille à la sortie de l’école.
Malgré l’intervention des parents présents, et celle d’enseignants, les policiers ont fouillé et interrogé cette femme, prenant de haut les protestations, devant les enfants et parents traumatisés. Ils l’ont ensuite emmené pour une destination qu’ils n’ont pas voulu préciser, laissant la petite fille désemparée...
Suivis et à nouveau "interpellés" par des parents de façon véhémente, les forces de l’ordre ont fini par relâcher leur proie plutôt que de provoquer une émeute. Cet incident a eu lieu lors d’une énième rafle dans le quartier de Belleville.
Ce soir, mardi 20 mars, au même endroit, après plusieurs allers-retours dans le quartier, les policiers ont finalement assiégé un café (situé à l’angle de 4 écoles, les écoles Lasalle et Rampal), et y arrêtant, notamment, un grand-père de 2 enfants scolarisés aux écoles Piver et 77, bld de Belleville.
Après l’avoir maintenu dans le café pendant plus d’une heure, la police décidait d’embarquer ce grand-père juste avant la sortie d’école de 18h. Les parents d’élèves, des enseignants, les militants de RESF et les habitants du quartier tentaient d’intervenir. La réaction des policiers fut immédiate : ils cherchaient violemment à disperser la mobilisation, n’hésitant pas utiliser la violence physique et un peu plus tard à asperger la rue de gaz lacrymogène. Les parents présents aux sorties d’écoles, avec leurs enfants et leurs poussettes, atteints par les puissants gaz lacrymogènes, se réfugiaient dans l’école élémentaire Lasalle pour fuir cette scène particulièrement traumatisante.
Le grand-père a finalement été emmené dans un commissariat du 2ème arrondissement.
Quelque temps après, les rafles se poursuivaient à Goncourt et à la rotonde de Stalingrad.
Non contents d’augmenter la cadence des contrôles au faciès, parfois en dehors de tout cadre judiciaire, les fonctionnaires de police ont donc choisi cette fois de violer le dernier refuge des valeurs de la République, à savoir l’école.
Le Préfet de Police de Paris aurait tort de sous-estimer la colère grandissante que provoquent ces procédés iniques et circonstanciels dans les quartiers dits "populaires". La peur cède peu à peu à la détermination d’y mettre fin, on l’a vu ce soir.
Nous partageons cette détermination. Le procédé de rafle est en lui-même odieux parce qu’il bafoue l’ensemble des droits fondamentaux des personnes humaines. Et doublement insupportable quand les institutions de la République sont elles-mêmes visées.
Nous rappelons aussi les garanties données à RESF à deux reprises pendant l’été 2006 (le 5 juillet et le 27 juillet) par la Préfecture de Police : qu’il n’y aurait pas d’interpellations dans et aux abords des établissements scolaires.
Désormais, devons-nous tenir pour caducs ces engagements ?
Pour le Comité de soutien Lasalle-Rampal,
Maria Clark, 06 18 01 07 63
Thérèse Coriou, 06 82 18 39 14
Dominique Perez, 06 84 52 00 41
Pour RESF Paris,
Brigitte Wieser 06 88 89 09 29
Anthony Jahn 06 61 98 45 18
http://www.educationsansfrontieres.org/?article4906
COMMUNIQUE DE PRESSE RESF PARIS
Paris le 20 mars 2007
Répression et chasse aux étrangers : un pas a été franchi.
Hier et ce soir, des incidents graves se sont produits lors de rafles effectuées dans nos quartiers à Paris.
Lundi 19 mars en fin de journée, nous avons assisté, révoltés, à une tentative d’arrestation devant l’école maternelle Rampal d’une dame venue chercher une petite fille à la sortie de l’école.
Malgré l’intervention des parents présents, et celle d’enseignants, les policiers ont fouillé et interrogé cette femme, prenant de haut les protestations, devant les enfants et parents traumatisés. Ils l’ont ensuite emmené pour une destination qu’ils n’ont pas voulu préciser, laissant la petite fille désemparée...
Suivis et à nouveau "interpellés" par des parents de façon véhémente, les forces de l’ordre ont fini par relâcher leur proie plutôt que de provoquer une émeute. Cet incident a eu lieu lors d’une énième rafle dans le quartier de Belleville.
Ce soir, mardi 20 mars, au même endroit, après plusieurs allers-retours dans le quartier, les policiers ont finalement assiégé un café (situé à l’angle de 4 écoles, les écoles Lasalle et Rampal), et y arrêtant, notamment, un grand-père de 2 enfants scolarisés aux écoles Piver et 77, bld de Belleville.
Après l’avoir maintenu dans le café pendant plus d’une heure, la police décidait d’embarquer ce grand-père juste avant la sortie d’école de 18h. Les parents d’élèves, des enseignants, les militants de RESF et les habitants du quartier tentaient d’intervenir. La réaction des policiers fut immédiate : ils cherchaient violemment à disperser la mobilisation, n’hésitant pas utiliser la violence physique et un peu plus tard à asperger la rue de gaz lacrymogène. Les parents présents aux sorties d’écoles, avec leurs enfants et leurs poussettes, atteints par les puissants gaz lacrymogènes, se réfugiaient dans l’école élémentaire Lasalle pour fuir cette scène particulièrement traumatisante.
Le grand-père a finalement été emmené dans un commissariat du 2ème arrondissement.
Quelque temps après, les rafles se poursuivaient à Goncourt et à la rotonde de Stalingrad.
Non contents d’augmenter la cadence des contrôles au faciès, parfois en dehors de tout cadre judiciaire, les fonctionnaires de police ont donc choisi cette fois de violer le dernier refuge des valeurs de la République, à savoir l’école.
Le Préfet de Police de Paris aurait tort de sous-estimer la colère grandissante que provoquent ces procédés iniques et circonstanciels dans les quartiers dits "populaires". La peur cède peu à peu à la détermination d’y mettre fin, on l’a vu ce soir.
Nous partageons cette détermination. Le procédé de rafle est en lui-même odieux parce qu’il bafoue l’ensemble des droits fondamentaux des personnes humaines. Et doublement insupportable quand les institutions de la République sont elles-mêmes visées.
Nous rappelons aussi les garanties données à RESF à deux reprises pendant l’été 2006 (le 5 juillet et le 27 juillet) par la Préfecture de Police : qu’il n’y aurait pas d’interpellations dans et aux abords des établissements scolaires.
Désormais, devons-nous tenir pour caducs ces engagements ?
Pour le Comité de soutien Lasalle-Rampal,
Maria Clark, 06 18 01 07 63
Thérèse Coriou, 06 82 18 39 14
Dominique Perez, 06 84 52 00 41
Pour RESF Paris,
Brigitte Wieser 06 88 89 09 29
Anthony Jahn 06 61 98 45 18